Au fond sont disposés des objets liés au commerce et à la consommation du vin (amphores, vases) ainsi qu’à l’agriculture et à l’élevage (fragments de meule, restes brûlés de faune). Ils sont clos par plusieurs niveaux de remplissage composés de blocs de pierre ou de fragments d’amphores.
Des structures identiques ont été reconnues dans le Sud-Ouest (à Rodez, Toulouse, Agen, Albi…), mais leur sens nous échappe. Certains archéologues y ont vu des puits funéraires, mais les vestiges humains sont rares (et inexistants à Rodez). L’hypothèse actuellement la plus vraisemblable est celle de puits à offrandes, destinées à la Terre nourricière.